Memories : La valse du crépuscule

Le jazz était pas bien perçu par mon professeur de piano complètement drogué aux concerti de Bach. Quelques potes prêts à commettre le sacrilège irréversible quant à notre inscription en troisième année, nous lui pondîmes, une fugue jazz en forme de valse, frôlant le canon à la quinte avec le canon de vin des côtes du Rhône.