Qui n' a pas voyagé en bateau ne connait pas la mer. Le navire fendait la mer en écumes sauvages. Nous étions accrochés à n'importe quelle pièce du navire ! La peur se lisait sur notre visage, mais celle-ci était le sceau de notre liberté. Le sel brûlait notre peau, qu'une sirène des ces lieues pouvait couvrir d'onguent céleste. Nous étions des dieux à bord, un instant jusqu'à ce que la mer nous rappelle que c'est elle qui prend l'homme.