Ayant liquidé mes saxos trop endormis et fatigués, il ne reste que le pianiste le percu fou et le contrebassiste qui court après je ne sais quoi pour cette première variation sur night train. Duke qui est aux cieux, que tes oreilles soient protégées, pardonne nous nos offenses comme nous pardonnons aux pianistes fous et ne nous soumets pas au dernier train, mais délivre-nous de la médiocrité. sniff sniff